Google dépense $2.7 milliards pour reprendre son ex-employé gourou de l’IA, Noam Shazeer.
Google aurait versé 2,7 milliards de dollars pour réembaucher l’ex-employé et expert en IA Noam Shazeer.
Retour de Noam Shazeer chez Google
Selon le Wall Street Journal (WSJ), Shazeer, qui a co-écrit des recherches ayant contribué à populariser l’intelligence artificielle, a quitté Google par frustration après que la société a refusé de publier un chatbot qu’il avait développé.
Il a ensuite lancé sa propre entreprise, Character.AI, réputée pour ses chatbots d’IA capables de reproduire diverses personnalités et personnages fictifs. Plus tôt cette année, Google a annoncé que Shazeer revenait dans l’entreprise dans le cadre d’un important accord de licence.
Le montant de cet accord s’élevait à environ 2,7 milliards de dollars, selon le WSJ, citant des sources au fait des négociations. Cet accord incluait une autre stipulation : Shazeer devait retourner chez Google. Une situation qui alimente le débat sur le montant dépensé par les géants de la tech dans leur course à la construction d’IA de pointe.
Impact de l’IA de Google
Google a partagé cette semaine que ses solutions d’IA générative sont utilisées par plus de 2 millions de développeurs.
“Nous sommes inspirés par ce que nos clients construisent et nous sommes ravis de voir comment ils sont rapidement passés de l’expérimentation à la production avec notre plateforme Vertex AI”, a écrit Thomas Kurian, PDG de Google Cloud, dans un article de blog.
L’entreprise a également partagé quelques exemples d’utilisation des solutions d’IA générative de Google et les avantages qu’elles offrent. Par exemple, le groupe indonésien GoTo FinTech a développé un assistant vocal basé sur l’IA pour aider les utilisateurs de son application GoPay à trouver et utiliser des fonctionnalités en simplement disant ce qu’ils souhaitent faire.
Conclusion
L’intelligence artificielle continue de jouer un rôle crucial dans le monde de la tech, avec Google en première ligne grâce à ses avancées et collaborations stratégiques.
Source : www.pymnts.com