Phoenix Labs restructure and layoffs: quel avenir pour Dauntless et Fae Farm?
Restructuration majeure chez Phoenix Labs, développeur de Fae Farm et Dauntless
Phoenix Labs, le développeur de Fae Farm et Dauntless, connaît une importante restructuration, annulant tous les autres projets et licenciant environ 140 employés.
La studio a partagé la nouvelle dans un post LinkedIn, déclarant qu’après une “longue période d’évaluation de la manière de naviguer dans notre environnement économique, nous avons dû restructurer significativement l’entreprise pour ouvrir la voie à un avenir solide.”
Focus sur Dauntless et Fae Farm
Le studio a également annoncé qu’il se recentrerait sur ses titres phares, Dauntless et Fae Farm, tout en annulant tout autre projet en cours. Cela aura un impact immédiat sur de nombreux collègues, mais l’objectif est de garantir la survie et la prospérité de Phoenix Labs à long terme.
À noter que l’un des projets annulés était censé être annoncé dans un mois.
Antécédents de Phoenix Labs et impacts de la restructuration
Fondé en 2014 par d’anciens développeurs de Riot, Phoenix Labs est basé à Vancouver et à Montréal. Son premier jeu, Dauntless, un ARPG, est sorti en 2018, tandis que Fae Farm, une simulation de vie à la ferme, a été lancé l’année dernière.
Par le passé, en décembre dernier, le développeur avait déjà licencié 34 employés dans ses équipes de publication, de ressources humaines, d’informatique et de services partagés. Les équipes de développement de jeux étaient quant à elle épargnées, assurant la continuité des titres de Phoenix Labs.
Annonce de licenciements et fermetures dans l’industrie du jeu vidéo
Cette annonce survient dans un contexte où d’autres grands acteurs de l’industrie, tels que Square Enix et Bethesda (racheté par Microsoft), ont également procédé à des licenciements et à la fermeture de certains studios.
Pour plus d’informations sur les licenciements dans l’industrie, consultez notre article dédié à l’actualité des licenciements dans le secteur du jeu vidéo.
Source : www.eurogamer.net